KOPPA
VS.
L'ALLANT DE SOI !
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samedi 30 avril 2016

Les partiels sur l'Océan

 NOVECENTO, LA LÉGENDE DU PIANISTE SUR L’OCÉAN 
« [Le monde] c'est un clavier de millions de touche, des millions, des millions et des milliards de touches, qui ne finissent jamais, et ce clavier-là, il est infini. Et si ce clavier est infini, alors [...] il n'y a aucune musique que tu puisses jouer. 
Ce monde collé à toi, et tu ne sais même pas où il finit. Jusqu'où il y en a. Vous n'avez jamais peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser ? [...] 
La terre, c'est un bateau trop grand pour moi. C'est un trop long voyage. [...] Tout cet univers pèse trop lourd. Il n'y a pas de limite et de fin. Sur ce bateau, mes rêves ne sont pas plus longs que de la proue à la poupe. »* (Novecento ou Danny Boodmann T.D. Lemon 1900)
Les révisions sont fractaliennes et comme dirait (presque) Pascal : « Le silence éternel de ces [révisions] infini[e]s** m'effraie ». 

 TRANSFORMATION SPÉCIALE POUR LES PARTIELS 
« [Les partiels] c'est des réviser des millions de choses, des millions, des millions et des milliards de choses, qui ne finissent jamais, et ces révisions-là, elles sont infinies. Et si ces révisions sont infinies, alors [...] il n'y a aucun savoir parfait *** que tu puisses obtenir
Ces connaissances collées à toi, et tu ne sais même pas où elles finissent. Jusqu'où il y en a. Vous n'avez jamais peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser ? [...] 
Les révisions, c'est un projet trop grand pour moi. C'est un trop long voyage. [...] Tout cet univers pèse trop lourd. Il n'y a pas de limite et de fin. Pour un exposé (ou un dossier), mes connaissances n'ont pas à être sont pas plus grandes que de l'introduction à la conclusion. » (La complainte des révisions)
* J'ai un peu mélanger des extraits de la pièce et du film.
** En gros, un fractal =  « répéter l'itération de [sa] construction à l'infini » [#]
*** "parfait" au sens "terminé" (par fait)


dimanche 13 septembre 2015

Un blog, Pascal et un rasoir [première partie]

AVANT PROPOS

Au commencement, il n'y avait que des ténèbres à la surface de l'abîme* qu'un seul article : une seule réflexion articulée autour de son idée principale et de sa genèse**. Mais finalement, cette dernière étant assez développée (on pense toujours plus rapidement que l'on écrit), j'ai préféré couper l'article en deux : la première partie, la genèse, sera donc centrée sur la question du blog dans une démarche épistémologique (je déconne, je n'ai jamais -même avec une définition sous les yeux- réussi à utiliser ce mot correctement) ; la seconde, l'idée principale, réunira Pascal et l'épilation (ça à l'air folichon dit comme ça, n'est-ce pas ?). 

* lol
** lol filé

J'aime les singes, j'aime l'Univers, j'ai donc mis les deux pour illustrer cet article (plus ou moins en rapport avec mes propos).
Il n'a pas de nez. Comme Voldy. 

PREMIÈRE PARTIE

Il n'y a pas longtemps je discutais avec une camarade à propos des blogs à partir de questions basiques : qu'est-ce qu'un blog ? Pourquoi un blog ? Beaucoup de blogueuses considèrent leur blog comme leur "espace personnel" ou encore leur "défouloir". 

Une première contradiction saute aux yeux. En effet, mis à part les cas particuliers, les blogs sont libres d'accès. Nous avons donc affaire à des espaces personnels ouverts (et sur des serveurs publics). Qui plus est, je ne sors pas cette idée "d'espace personnel" de nulle part puisqu'elle me vient des plateformes de partage entre blogueuses types Hellocoton (le lotus éclot dans la boue). 
Récapitulons : les (certains) blogs seraient des espaces personnels ouverts et mis en avant... La logique devient dure à suivre

Prenons l'idée suivante : celle du "défouloir". C'est un terme que l'on retrouve pas mal sur la blogosphère (avec celui -agaçant au plus au point *- d'univers). Partons de la logique toute simple qu'un défouloir doit défouler (applaudissez) donc il doit y avoir une tension qui ne peut pas être exprimée IRL. 
Bon, je ne vais pas faire du cas par cas ni m'attarder sur des blogs types parce que ce serait sûrement juger trop vite toutes ces blogueuses victimes d'elle-même de la société des injustices de la vie. 

* l'expression "mon univers" pour décrire son blog est bien pensée (poétique même) mais la voir dans toutes les descriptions est lassant, c'est comme le premier monochrome (le Carré blanc sur fond blanc de Malevitch) : c'était sympa, après, ça l'est devenu moins (pour un non initié dans le cas de la peinture). 

Trou noir représenté dans Interstellar. 

Bref, ne généralisons pas et parlons de ce que nous savons... C'est un nous de majesté : MOI (le nous de majesté à laissé place au "moi" en majuscule -mais en petit-... Il semblerait que j'ai une haute estime de moi-même en ce moment). 
Car oui, derrière cette première critique des autres se trouve une remise en cause : après avoir grommelé contre l'idée (parfois/souvent) ridicule d'un "défouloir", je me suis demandée si mon blog, dans le fond, n'en était pas aussi un. Mon blog exprime-t-il une tension que je ne peux pas ou que je n'arrive pas à manifester dans la vie de tout les jours ? (Vais-je enfin avoir une révélation ?)

Le terme "défouloir" est en réalité, selon moi (je prends beaucoup de pincettes aujourd'hui), fourre-tout (cf. l’illustration ci-dessus). Non, je n'ai jamais dit directement à quelqu'un que « l'Univers n'a[vait pas] essayé de [le] différencier de [son] chien » (fameuse tension IRL) mais cela pourrait arriver. Par contre, il y a en effet des sujets que même sur mon blog je ne traite que par allusions parce que : 
1. se sont des sujets délicats dans notre société qui nous touchent tous personnellement ; 
2. je fais mes articles selon ce que j'ai en tête.

Cette question ne m'a donc pas conduit à une révélation existentielle. Pourtant, grâce à elle, j'ai changé un chouilla la présentation de mon blog pour le rendre plus badass punchy crunchy combatif avec l'inscription "KOPPA VS. L'ALLANT DE SOI" (je compte donner un avatar à ce dernier -un jour) parce que j'ai compris que c'était ce qui réunissait tout mes articles (en plus de me mon style issu d'une personnalité hors du commun je vais m'arrêter là avec l'autocomplimentation pour aujourd'hui)

Nous voila rendu à la fin de cet article à imitation stream of consciousness et nous avons abordé la partie "un blog" du titre. Qu'en est-il alors de "Pascal et un rasoir" et comment cela peut-il s'annoncer comme la suite ? "Pascal et un rasoir" va parler, comme je l'ai souvent fait, des normes esthétiques de notre société et pour une (des) fois, on pourra dire qu'il s'agit d'un article "défouloir" puisque, de façon générale, les gens sont trop "bracs" pour en parler. 


(le bel article qui, une fois fini et en attente, s'est supprimé tout seul)

samedi 23 mai 2015

Toi

Il y a pas longtemps* je me suis confrontée à une question existentielle (non, pas relative aux symboles montrant l'appartenance à un groupe ou une communauté ni à pourquoi je dis toujours "je reviens" avant d'aller aux toilettes -prochainement sur mon blog)

MAIS QUI ETES-VOUS ?

Voici ce que dis un article type** sur le lien blogueuse/lectrice (j'ai tout mis au féminin mais vous pouvez toujours rectifier dans votre tête) : 
« Durant les premiers mois de vie de votre blog, essayez donc simplement d’écrire des posts qui soient utiles aux autres… et de créer mentalement votre « lecteur type ». Même si ça peut paraître un peu ridicule, n’hésitez pas à lui donner un nom et une vraie personnalité. [...] Regardez, à partir de ce profil, on peut déjà imaginer des tas de sujets de posts. »
Je vais donc suivre ces conseils et recréer votre profil à partir de mes articles (et non l'inverse) : 

Je n’arrête pas de vous le dire : je suis une artiste ! 
Nom : Anonyme. 

Personnalité : pour commencer je dirais que votre bouche fermée et sévère explique votre loquacité proche de zéro. 
Mais la première chose qui frappe lorsque l'on vous regarde, c'est votre couleur de cheveux : jaune fluo. Signe évident de votre adhésion au mouvement Koppa. Je peux en déduire que vous êtes une personne intelligente ! 
Cependant, malgré vos traits féminins, votre visage reflète votre révolte face aux normes sociales (que j'ai symbolisé ici par votre calvitie précoce et travaillée -une tendance hipster ?) : vous êtes une personne engagée et c'est admirable ! 
Vos lunettes vous donne un air pervers et c'est normal car vous est passionnée par la zoophilie et le cannibalisme. Notre nez, droit et sérieux, équilibre votre côté marginal (évoqué ci-dessus) pour faire ressortir le côté studieux qui sommeille en vous. 

Maintenant que je vous ai enfin visualisé (car j'avais déjà parlé de vous ici et là), je peux enfin sentir l’inspiration germer dans mon petit cerveau et "imaginer des tas de sujets"  ! 

Et toi, quel est le portrait robot (amuse-toi sur flashface) de ton lecteur/ice type ?
Y en a-t-il seulement un ?

* C'est faux mais j'aime bien faire croire qu'il s'agit d'une actualité dans ma tête
** Oui enfin je ne pioche pas mes exemples "type" au hasard : c'est un article de qualité du blog de NoTuxedo intitulé "Comment trouver la cause d'une baisse de trafic sur votre blog ?". 

lundi 18 mai 2015

Intrusion

Ceci est un liebster-awards-guest-blogging : MON ARTICLE CHEZ ELLASTIQUE
Je laisse maintenant parler Ellastique... 


Labinocline m'a nominée aux liebster awards cette semaine. #

Avec Koppa, nous avons décidé de répondre au défi en "guest-blogging". En gros, Si ça parle bizarre, si ça parle de Koppa à la 3ème personne, c'est pas qu'elle se prend pour Jules César: c'est l'EllaStique à l'appareil, et on s'est dit que ça serait plus fun comme ça. L'article de Koppa est à voir ici.
Précisons que nous ne nous sommes pas concertées pour écrire les articles : c'est la surprise pour nous aussi :)

Ce défi est dû à des fétichistes du nombre 11 (pour une fois que ça n'est pas 23) : On répond à 11 questions, on dit 11 faits sur soi, et on re-pose 11 questions à 11 autres personnes. Ces 11 personnes ont moins de 200 abonné.e.s sur Hellocoton.

Du coup, j'ai quand même aussi des questions :
Curiosité : qui a eu cette idée ? Ou plutôt, qui a déposé la "marque" du liebster award (Je suppose que ça s'est fait tout seul, de faire connaître des blogs nouveaux, mais la réglementation...) ? Et pourquoi ce nom ? Pourquoi 11 ?
Pratique : Est-ce une coutume propre au réseau Hellocoton ? (J'ai pas mille onze personnes à nominer alors …)

11 faits sur Koppa :
  1. Koppa prend en otage des couverts et des tasses, parfois des assiettes, qu'elle entrepose dans sa chambre.
  2. Elle fait l'algue à la perfection. Vous lui demanderez.
  3. Koppa déteste les chiens et les éponges. Donc Koppa déteste les chiens en forme d'éponge qui mangent des éponges.
  4. Bretonnante, ou brittophone, bref Koppa parle Breton (et comme Labinocline, elle fait de la danse bretonne :) )
  5. Koppa est une littéraire qui réfléchit comme une scientifique. (Voyez vous même)
  6. Elle pratique la cartomancie ! (Méfions-nous !)
  7. Les courbatures sont absentes de la vie de Koppa.
  8. Pour apprivoiser un Koppa, munissez vous de madeleines ou de clémentines.
  9. Un jour, Koppa partira au Japon (Ce que j'écris ici n'engage à rien. Je n'ai pas lu de cartes).
  10. Koppa est allée pas mal au cinéma cette année. Une fois par semaine en moyenne. Et en Vostfr s'il-vous-plaît ! Donc Koppa est culturée #
  11. Elle n'aime pas les légumes quand ils sont trop verts. Mais quand on y pense, il y a plein de légumes qui ne sont pas vraiment verts.

Mes réponses aux questions de Labinocline :

Mon plus beau souvenir ?
Il y en a plusieurs. Généralement dans les espaces ouverts (pas de parc ou de cour fermée) quand il fait beau, quand je suis avec des gens que j'aime et quand il y a à manger, il y a les ingrédients pour un bon moment, donc pour de bons souvenirs.
Non, vraiment, je ne peux pas choisir un "plus beau" souvenir. Il y a plein de choses belles. Et plein de jambons.

Pays chaud ou pays froid ?
Pays froid. Mais sec. Le froid humide est juste insupportable.
Vraiment, regardez ça: # (LaLykorne), # (Spleen et Idéaux) , ça donne pas envie de partir dans le nord ?

L'adjectif qui me décrit le mieux ?
J'aime bien dire "distante". Ce n'est pas vrai, c'est comme ça qu'on me perçoit. C'est comme ça que je crois qu'on me perçoit. Ça fait partie du mythe.

Mon blog parfait ?
Le blog de moi ou le blog de quelqu'un d'autre ? J'aime pas trop cette idée de perfection. Le blog parfait n'est pas parfait. 
Le blog parfait est un peu celui-ci, mais sans les fautes d'orthographe (tu frôles la perfection, l'Agneau !).
Il faut développer ?
Cette récente inscription sur Hellocoton nous a amenées à moult blogs (bon point, c'était le but premier) et à moult conseils, entre autres: écrivez sur ce que les gens aiment. Écrivez ce que les gens écrivent. Ce n'est pas ce qui sera conseillé à tout le monde, mais vraiment, j'espère que vous ne suivez pas tous ces conseils. Je me suis abonnée à des blogs qui m'intéressaient parce qu'ils me rendaient curieuse (pas pour qu'on vienne lire le mien). Curieuse des gens, curieuse des réflexions qu'ils ont. Parfois curieuse de me retrouver dans ce qu'ils écrivent. Mais les gens, si vous étiez tous comme moi, ben je lirais juste mon blog ! Le blog parfait est donc celui qui me surprend, qui aborde des sujets originaux. C'est le blog que je ne trouverai nulle part ailleurs.
(Et le blog de Koppa, pour ça, il est à voir)
(Koppa, ne lis pas ça, tu vas croire que tu es le nouveau Messie).

La chose que je ne jetterai pour rien au monde ?
Facile. La nourriture.
(Ma personnalité toute entière vient d'être dévoilée, sous vos yeux ébahis).

Le cadeau le plus insolite que j'ai reçu ?
Insolite pour vous ou insolite pour moi ? Dans tous les cas, je crois qu'il s'agit du cube. Mon cube. On a été trois à en recevoir un le même jour, et nous avons réagi différemment. C'était un cadeau insolite et il y avait un message ; ce message pouvait aussi, je pense, être interprété de différentes manières. Plus d'infos ici. Il se trouve que pendant plus d'un an, il ne m'a pas quitté. Je l'ai posé sur ma table pendant les épreuves de bac. Il est allé jusqu'en en Pologne avec moi. Tu te demandes encore ce que c'est parce que je ne l'ai pas bien décrit. Ouais.
Cube de bois, bois de sapin, à peu près 6 cm de côté. Verni (je l'ai vernis). 

Moi, endormie dans un train, tenant ce cube.

Ma phrase préférée ?
J'avais pensé à "La peur n'évite pas le danger", mais c'est pas vraiment une phrase, pas non plus quelque chose que je dis sans arrêt. Par contre "Que dire, que faire et surtout qu'en penser ?", je le dis relativement souvent. Disons que c'est ma phrase préférée du moment (un long moment). 

Si j'étais un personnage historique…
Alors avec ce genre de question, j'ai toujours du mal. Premièrement parce qu'il s'agit d'un personnage historique auquel je vais oser me comparer, mais on s'en fiche. Deuxièmement, parce qu'il y a confusion entre 'j'aimerais être' et 'je ressemble à'. Là, c'est 'je ressemble à'. Moi, je vais répondre à 'Si j'étais prétentieuse, et peut-être dans d'autres circonstances, ils se pourrait que je ressemble sur certains points à …' Lou Andreas-Salomé. T'occupe, c'est un personnage historique: elle est morte dans le passé.
Je trouve qu'elle a la classe, et puis elle est aussi super bizarre. On a en commun de connaître des gens trop bien ! (Nietzsche et Koppa sont des gens bien.)
(En fait ça répond plus au 'j'aimerais être, étant donné ce que je suis déjà', c'est une caricature de moi + de quelques idées folles (je ne veux pas être la muse mais l'écrivain, que ça soit clair)Vous m'agacez.)


La chose la plus folle que j'ai faite ?
Partir en Interrail juste après le bac, pendant 3 semaines, sachant qu'on serait à Prague au moment des épreuves de rattrapage. Réserver des places dans un bateau qu'on ne pouvait pas décemment atteindre à pieds. Dormir entre une autoroute et une gare.
Il n'y avait pas toujours beaucoup à manger, mais ça fait partie de mes meilleurs souvenirs.

Mon avenir ?
Je n'imagine même pas la semaine prochaine. Demain, je crois que je vais manger du riz. Avec un œuf s'il y en a. Sinon avec de la sauce soja (s'il en reste).
Plus sérieusement, mon avenir lointain… J'aimerais, je vais devenir ingénieur. Ensuite, plus tard encore, j'achèterai un terrain vague où je planterai des arbres. Créer une forêt, pas juste pour me faire pardonner des tonnes de papier utilisées pendant ma scolarité. Ça sera aussi ma trace dans ce monde, un peu comme des enfants.

Le genre de musiques que j'écoute ?
Pas de jazz. Ceux qui veulent m'en faire écouter n'en ont pas terminé avec moi. Pas trop cette musique commerciale que te donne l'impression d'être en train de choisir tes yaourts au Leclerc. Dépend de mon humeur sinon.
J'aime bien aussi les choses assez délire, dans le genre punk "dépasser les règles en ne les ayant jamais vraiment apprises" . Des choses décousues mais drôles, des paroles prenantes mais chantées faux, tout ça…
J'aime aussi les choses bien faites et agréables à l'oreille, ne vous y trompez pas ! (Ça me donne l'idée de te montrer ça : # que je re-regarde pour la peine)


Et maintenant, les 11 questions à 11 personnes. 11 questions, ça doit pouvoir se faire mais par contre, les onze personnes... On va partager avec Koppa. Parce qu'on ne suit pas encore assez de monde, Peut-être suivons nous des gens qui ont déjà été nominés plus de 11 fois...

7. Quelque chose qui ne t'ennuie pas ?
11. Ce que tu faisais quand cet article a été publié [le 18 mai autour de 18h] ?
3. Une série/un livre/les deux que tu recommandes à la terre entière tes amis ?
9. Une décision marquante que tu as prise ? (Ou, si cette question est trop mauvaise : Le dernier truc cool qui te soit arrivé ?)
2. Une langue que tu voudrais apprendre à parler (et à écrire) ?
4. Une qualité et un défaut (de toi) ?  (cette question est mal posée)

Questions de Koppa (vous devez y répondre aussi) :
10. Que penses-tu de la main de Dieu ? (réponds d’abord franchement puis envisage la question selon la main de Dieu grattouille-tête
8. Si ton médecin t’annonce que pour des questions de survie, on doit te greffer un nez supplémentaire, où choisirais-tu de le mettre ?
1. T’arrives-t-il de faire l’algue ? Si ce n’est pas le cas, essaye immédiatement (oui, j’ai poussé le concept liebster-awards-guest-blogging jusqu’au gage bon enfant)
5. Quel est ton film bizarre préféré ? 
5bis. Si tu étais un super-héros, aurais-tu des animaux de compagnie ? 
6. Es-tu content(e) d’être nominé(e) ?

Nominons !

Bettasplendens, Safianechka, parce que j'aime bien comment vous écrivez, et aussi DansunMondedeGrands (avec des majuscules de temps en temps, moui), parce qu'elle veut des défis, et aussi Phanie7631 (si ça te dit !)

Nominées par Koppa : lafilleaddamsSueLysCheminDuSoleil et Captainrawr.


Sur cette photo, il y a des gens que j'aime, des gens qui passent, d'autres qui restent. On ne peut pas savoir s'ils passeront vite ou resteront longtemps. Parfois on se doute quand même. Parfois on l'a toujours su.

vendredi 1 mai 2015

La trilogie du mot [Part 2] L'asexualité

Il y a pas longtemps je m'interrogeais (attention, cet article est 100% "quotidien koppaesque") à propos de la pansexualité (terme que mon correcteur d'orthographe ne reconnait toujours pas*) et puis, alors que j'avais déjà cet article en tête, j'ai décidé de faire un tour sur mes articles concernant, en gros, l'orientation sexuelle. Les plus assidus auront au passage remarqué la création d'un nouveau libellé : COMPORTEMENT SEXUEL*.

#INTRODUCTION#
#INTRODUCTION#


A côté des articles "loufoques" sur la logique des fantasmes sexuels ou encore, plus récemment, sur la zoophilie, j'ai pu constater que j'avais abordé plusieurs fois la question de la norme du comportement sexuel (c'est du sérieux) notamment à travers la question de la pression d'une société sexuée, du choix traditionnel du couple ou tout simplement par rapport au choix de l'orientation sexuelle.
→ A ce moment là de mon petit discours vous avez le choix entre être intrigué(e) parce que ce blog vous parait plus sérieux qu'il n'y parait au premier abord (j'en suis la première surprise) et ouvrir plein d'onglets en cliquant sur les liens ou juste sur le libellé sur le comportement sexuel (dans ces deux cas vous remonterez jusqu'aux archives de 2013 contenants des articles qui n'ont pas forcement été réédités -c'est un risque pour les yeux) ou alors gentiment hocher la tête et continuer à lire le reste sans vous soucier du développement de la réflexion. En réalité il y a un troisième choix : la mort. 
Bref, j'ai toujours été très théoriquement intéressée par la question du comportement sexuel des gens en société mais tout en gardant la distance d'une observatrice. Pendant un moment, j'ai cru que je m'étais "perdue" dans cette position d'observatrice : que je m'étais un peu déshumanisée moi-même. Pourtant la réponse était là, dès le début, « [l']évidence recherchée, [...] inconnue et pourtant familière », qui flottait paresseusement entre les lignes de mes articles. 

POURQUOI ME SUIS-JE INTERROGÉE ?


Je regarde mes propres articles avec un regard neuf maintenant que j'ai la réponse de la devinette mais comme je l'ai dit : « la réponse ne doit pas venir avant l'énigme et le mot avant le monde ». 

J'essaye en ce moment d'éviter de me laisser porter par l'enthousiasme du « c'était évident ! » et de vous expliquer les nuances de l'asexualité pour vous sortir de votre ignorance parce d'autres l'ont déjà fait et mieux que moi (les liens vers ces sites sont ci-dessous). 

* mon correcteur d'orthographe est maintenant dans entré dans l'ère moderne puisque je viens de l'ajouter moi-même : une petite révolution est en court mes amis !

SOURCES : pour vous renseigner sur l'asexualité je vous propose les sites de base : 
- asexualite.wordpress (cf. orientation romantique) ;
journeeasexualite.tumblr ;
- une image venant du site d'AVA ;
madmoizelle.
Les gifs viennent de la série Masters of sex.

#INTRODUCTION#
#INTRODUCTION#


Et vous, vous êtes vous déjà retourné pour connaitre la réponse ? 
Avez-vous déjà ajouté des mots à votre correcteur d'orthographe ? Pensez-vous que votre correcteur d'orthographe soit encore approprié face aux interrogations personnelles qui nous caractérisent ? Le XXIe siècle est-il celui du retour à soi (selon mon professeur de philosophie de terminale) ? 

La trilogie du mot [Part 1] La devinette

Voici le premier article de "la trilogie du mot" : c'est, en quelque sorte, son introduction (une parenthèse qui a pris son indépendance). Ce n'est pas une suite d'article sur le mot en tant qu'objet linguistique mais sur le mot, celui que vous enfin trouvé après l'avoir eu sur le bout de la langue. Trouver le mot, c'est un peu comme trouver une nouvelle paire de chaussure, enfin à votre taille, qui durera toute votre vie. Le tilt. Il n'y a plus qu'à espérer que vos chaussures vous plaisent. 
o
*
o
« Qu’est-ce qui a des racines que personne ne voit,
Qui est plus grand que les arbres,
Qui monte, qui monte,
Et pourtant ne pousse jamais ? »

Vous l'avez sûrement lue ou entendue dans Bilbo le Hobbit, cette énigme posée par Golum est ici à titre d'exemple. « C'était évident ! » La réponse l'est toujours lorsqu'on la connait parce qu'elle éclaire l'énigme. La réponse est une reconnaissance. La synthèse de ce qui est. Le mot est à la fois la création et le créateur d'une unité. Un mot n'est jamais qu'un mot parce qu'un mot n'est jamais une rose absente de tout bouquet. 

La montagne

Cependant la réponse ne doit pas venir avant l'énigme et le mot avant le monde. La montagne est « ce qui a des racines que personne ne voit ». Je suis. Je suis à la fois la montagne et celle qui a des racines. Je suis l'énigme et la réponse. Je suis l'évidence recherchée, celle qui m'est inconnue et pourtant familière. 

Shingeki no Kyojin
Réflexion : La trilogie du mot [Part 3] Les communautés néologistes

Et vous, votre vie a-t-elle déjà changé après la découverte d'un seul mot, comme éclairée par un jour nouveau ?
Pourquoi les géants ? Pourquoi la vie ?
Que pensez-vous de la "trilogie du mot" ? Comment avez-vous compris cet article ? 

lundi 16 février 2015

Un week-end dans la tête du Koppa

Voici deux choses qui ont marqués mon week-end. Bienvenue dans ma tête.

Entre Le maître Chat ou le Chat botté et Les Fées, il y a l'attente à la gare
« Il était une fois » la gare de Rennes plongée dans une longue attente. En effet, une ligne de chemin de fer était encombrée par « une si grande quantité de grands arbres et de petits, de ronces et d’épines entrelacées les unes dans les autres, que bête ni homme n’y aurait pu passer » et encore moins un train.
La gare renvoyait un « silence affreux : l’image de la mort [...] ce n’étaient que des corps étendus d’hommes et d’animaux qui paraissaient morts » mais qui n'étaient, en fait, qu'en train d'attendre le Prince qui viendrait les réveiller de cette longue torpeur. 


Avant la menomancie et la tyromancie mais après l'alectyonomancie et l'amniomancie, il y a la cartomancie : 

Je tire les cartes sans y croire. [L'OFFRE]
Je tire les cartes pour des gens qui n'y croient pas. [LA DEMANDE]
Justifions-nous : je n'y crois pas directement (« La magie mon garçon, ça n'existe pas ! ») mais je pense qu'elles influencent notre jugement. Comment la cartomancie nous éclaire ? 
[LA DEMANDE] doit réfléchir à une question. Essayez-vous même : réfléchir à la question qui à le plus d'importance pour vous n'est pas une chose évidente puisqu'il faut voir plus loin que la météo de demain. Je vous laisse à vos déductions. 
[L'OFFRE] propose une réponse. En plus du côté ludique de la lecture il faut savoir axer sa lecture selon [LA DEMANDE]. 
Qu'importe la réponse donnée, [LA DEMANDE] ne peut plus faire semblant d'ignorer le verdict : une voix dans votre tête vous soufflera toujours qu'il s'agit forcement d'une coïncidence. Et si rien de ce qui était indiqué n'arrive, alors c'est que, prévenu, vous avez influencé votre avenir. Vous êtes piégés par l'annonce.
Exemple : il y a une peau de banane sur le trottoir. [L'OFFRE] vous prévient que vous allez glisser dessus. Option n°1 : [LA DEMANDE] glisse dessus, [L'OFFRE] avait raison. Option n°2 : [LA DEMANDE] l'évite mais se souvient que [L'OFFRE] l'avait prévenu. [L'OFFRE] avait raison. 
En bref, selon moi, le plus important n'est pas la lecture en elle-même mais l'influence que [LA DEMANDE] va avoir sur elle-même, dans le sens ou en réaction aux cartes tirées. 

« Le Sinistros, mon pauvre chéri, le Sinistros ! s'écria le professeur Trelawney qui semblait choquée que Harry n'ait pas compris. [...] Mon pauvre chéri, c'est le pire des présages, un présage de mort ! » (Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban)

Bien sûr ça la fout toujours mal quand cinq jokers sont tirés sur cinq lectures à la suite, les cartes ayant été mélangées entre temps. Mais n'y croyons pas, ce n'est que le hasard. 

lundi 19 janvier 2015

Le paradoxe de la dent

Avant lire cet article je vous conseille de (re)lire "Que faut-il penser du désordre ?" ou "Le cas du renard écrasé" puisqu'il en sera largement question. En voici le résumé : 



*
#
Contexte : Aujourd'hui je me suis promenée avec une dent autour du cou, la mienne. Je m'attendais à de la surprise mais pas à du dégoût (c'est une dent de sagesse récupérée après son extraction chez le dentiste, lavée soigneusement avant d'être transformée en un gracieux pendentif -selon moi). Bref, ce n'est pas comme si je me baladais les entrailles à l'air, ni même avec mon œil de lait ! Mais bon, mon nouveau bijoux était condamné. Voila pourquoi je me demande :

MAIS EN FAIT, QU'Y A-T-IL DE DÉGOÛTANT A LA VUE DE CETTE DENT AUTOUR DE MON COU ?

Mon interrogation, cette fois, ne fut pas silencieuse car le problème ne vient pas de moi mais des autres qui, sans arguments valables (je leur dédicace cet article en toute gentillesse et avec toute ma diplomatie -surtout pour combler mon manque de communication), refusent d'entendre raison. En voulant écrire cet article, je me suis rendu compte qu'il s'agissait encore une fois d'une question d'ordre et de désordre

Une dent autour du cou, c'est dégoûtant parce que : 
  1. c'est sale elle est propre ; 
  2. ce n'est pas naturel et les dents de requin en collier ? ; 
  3. ce n'est pas naturel (bis) c'est juste une dent ; 
  4. ce n'est pas naturel (le retour) cela aurait (facilement) pu être une tradition ; 
  5. c'est affreux j'étais sous anesthésie avec du Beethoven (ou Mozart, je ne sais plus qui avait eu mes faveurs) dans les oreilles mais c'est gentil de s'en inquiéter ; 
  6. c'est provocateur wtf ? ; 
  7. c'est un signe de désordre : porter votre dent autour du cou est suffisant pour faire de vous la personne la plus étrange à des kilomètres à la ronde. 
Je trouve que mon pendentif est élégant. C'est ma relique perso de moi-même. 

Raisonnons par analogie : 
  • Un renard écrasé avec les entrailles à l'air = un renard écrasé sans les entrailles à l'air. 
  • Une dent de sagesse enfoncée dans ses gencives = une dent hors des gencives.
Seul l'ordre ou la place change : la place des entrailles dans le cas du renard écrasé ou de la dent dans de cas du collier n'est pas dans l'ordre habituel des choses.

Notre dégoût est toujours lié à une question de désordre dans l'ordre traditionnel des choses. Mon impression d'avoir été, avec ce pendentif, une "troubleuse de l'ordre" s'explique maintenant. 


Et vous, quel est votre côté petit punk ? 
Avez-vous déjà troublé l'ordre publique ? Quel est votre souvenir le plus fort avec un dent ?
Pensez-vous que ce collier soit dégoûtant ?

samedi 10 janvier 2015

Pour mieux visualiser l'après-fête :


Un kilo de riz casino. 

La complainte n°1 des gens après les fêtes tourne autour de leur récente prise de poids (à part si vous ne mangez pas de boudin blanc ou si vous voulez participer aux concours de Miss). Cette prise de poids est généralement de l'ordre de un ou deux kilos. 
Tout ceci était très abstrait pour moi jusqu'à aujourd'hui : j'ai eu une révélation quand je suis allé faire les courses avec ma partenaire domestique sans affinités : 

UN PAQUET DE SPAGHETTI = 1 KILO
#
UN PAQUET DE RIZ = 1 KILO

Ma partenaire domestique à pris un kilos de bourlet de bidou à cause du buffet. 

Quand vraiment vous avez mangé trop de boudin ! 

*

Quand je me suis mise au sport du bras gauche (article d'anticipation) j'ai pris un kilo de muscle Basmati : 

Première photo de l'auteure de ce blog. 

Avez-vous apprécié les repas de fêtes de Noël ? 
Avez-vous déjà mangé un kilo de riz d'un coup ?

jeudi 8 janvier 2015

Troll des rêves



Le cercle interne est l'espace du rêve.
Le cercle externe est l'espace de l'éveil.

Le rêve demi-conscient est une expérience que j'ai vécu cette semaine : j'ai été témoin d'un rêve conscient.

Et vous, quel genre de troll habitent vos rêves ?
Comment parvenir au rêve éveillé sans effort ?

mercredi 7 janvier 2015

Le pouvoir des chats ou mes résolutions 2015 (et autres petites choses d'un quotidien koppesque)

Je voulais mettre une photo de chat mignon pour m'encourager dans mes bonnes résolutions quand je suis tombée sur ça (ci-dessous). Du coup ça m'a arrêté dans mon délire de blogueuse post-nouvel-an.  

Les protège-griffes SoftClaws® pour Chat et Chaton

P.s : je préfère le bleu mais j’épargnerai mon chat. 


[Fusiiiiioooon ! -c'est deux articles en un !]


Je vais partir du principe que vous suivez l'actualité. 

Je m'attaque à un fait d'actualité pour la deuxième fois depuis la création de Koppa (selon mes souvenirs). 
Ce soir, alors que j'étais tranquillement dans ma chambre, totalement coupée du monde malgré ma connexion internet (j'avoue ne peut être une citoyenne au taquet), j'ai reçu un coup de téléphone d'une amie m'invitant à la rejoindre à la manifestation en soutient à Charlie Herbo. J'ai appris l'existence de ces manifestations en même temps que leur cause... Et j'ai eu l'impression d'être Dornröschen après un Ice Bucket Challenge.

[Edit : re-Fusiiiiioooon ! -l'anecdote en plus (dans les bonus) !]

dimanche 14 décembre 2014

L'usurpation du tractopelle kaki

Oui, moi aussi j'ai le droit de raconter ma vie (et c'est déjà arrivé -« Bi1 [ma] vi », n'est ce pas ?- après des articles sérieux je m'en donne le droit -vous avez vu le libellé ?). Alors voici ma journée en trois parties (et quelques ellipses). 

  • DÉFINISSONS LES TERMES DE CET INTITULÉ :

lundi 8 décembre 2014

« Longtemps » je n'ai dit que "méchant"...

... Parce que méchant c'est la pire c'est insulte, celle qui réunit toutes les autres ! 
L'INSULTE ULTIME. 
Vous rigolez ? Faites donc ! 
Mais après je me suis laissé aller au vocabulaire commun. 

jeudi 23 octobre 2014

mercredi 11 juin 2014

Une théorie de l'amitié

Je vais pas dire combien l'amitié est formidable ou autre car vous n'avez pas besoin de moi pour cela. En revanche je vais utiliser raison et schéma pour expliquer un petit point de vue personnel sur l'amitié. 
Déposez ici votre masque dramatique ainsi que vos jugements hâtifs. 

PHOTO

Pour commencer objectivement :
AMITIÉ, nom féminin
Sens : Affection réciproque, attachement mutuel entre deux personnes. 

Je retiendrai deux termes centraux dans cette définition :
- "affection"
càd : le degré d'affinité entre deux personnes ; 
- "attachement"
càd : vous aimerez plus votre chien après deux ans qu'après deux semaines, il en va de même pour deux personnes*.
* : si vous soutenez corps et âme le contraire cela veut dire que votre degré d'attachement n'évolue pas donc soir que vous possédez l'amour absolu (mais vous ne liriez pas ce blog), soit que votre niveau d'attachement à quelque chose reste le même qu'il soit récent ou ancien, donc que les choses sont, dans le fond, interchangeable.

Ainsi donc on obtient une équation SENTIMENTS (y) / TEMPS (x) :

# Ce ne sont pas les formules des fonctions qui m'intéressent ici. 

- Vous ne pouvez pas faire grandir la courbe de l'affection sans le temps (parce que cela reviendrai à fantasmer une amitié) et le temps seul ne fait pas non plus l'amitié (il ne fait que passer) : c'est un peu comme le tissage, vous ne pouvez pas faire une corde avec un seul file tout comme vous ne pouvez pas tresser l'osier avec un seul brin.  
- Pour poursuivre mon raisonnement, je dirais que peu de temps passé à construire une amitié n'en donne que l'illusion et que celle-ci ce dissipe lorsque "loin des yeux, loin du cœur" (déménagement, étude, etc). Cela n'empêche pas une nouvelle amitié d'être agréable, mais sans le facteur temps, elle est juste plus courte (je ne vois même pas pourquoi j'écris ça c'est tellement logique). 
- Cependant une amitié construite sur le long terme souffrira moins de l'éloignement car celle-ci aura des bases solides (un peu comme une habitude). 
- A noter que je différencie amitié et connaissance. Mais bon, je comprend parfaitement que du fait de leurs études (changement de classe, etc) les jeunes d'aujourd'hui construisent si vite leur amitié que celle-ci ressemble à du jus d'orange concentré

La morale de cette histoire : parler des sentiments avec la raison, c'est fun n'oublions pas LE FACTEUR TEMPS. 

Si vous êtes stupide pas d'accord, voici votre masque dramatique ainsi que vos jugements inchangés.

lundi 9 juin 2014

A voler trop haut

« Calves are easily bound and slaughtered
Never knowing the reason why.
But whoever treasures freedom,
Like the swallow has learned to fly »*



« "Stop complaining," said the consciousness,
"Who told you a collateral damage to be ? »**
I'm a joker. Ha ha ha. 

* Dona Dona by Joan Baez, #
** « "Stop complaining," said the farmer, / "Who told you a calf to be ? »

# A d'autres ! 

Vous ne pouvez pas crier : un peu de dignité. Vous ne pouvez pas pleurer : ne soyez pas dramatique. Vous pouvez rire : mais quel sans cœur. A voler trop haut vous serez trop loin. 

jeudi 5 juin 2014

Huchomp e brezhoneg !

Breizh, bro aloubet gant ar gallaoued lec'h ma komz brezhoneg a zo deuet da vezañ ken nec'hus evit ar bobl a un yezh ma ne vezh ket muiñ a zibab ken, galleg a vez klevet hepken. 
PARADOX : komz brezhoneg e Breizh a zo deuet da vezañ diaes. 
PARADOX : ar yezh ar muiañ komzet e Breizh a zo ar galleg. 
PARADOX (cf. kartenn er bonus) : sinet eo bet gant ar gallaoued Karta Europa ar yezhoù rannvro pe bihanniver met n'eo ket bet kadarnaet ganto. 
PARADOX : ul lodenn eus ma fennad a vo e galleg a-benn ma vefe komprennent ganeoc'h. 
PARADOX : ur bern fazioù a zo bet graet ganin en ur skrivañ ar pennad-se hag ezomp em eus bet eus ur geriadur a-benn gwiriekaat ur nebeut geriou (mezh em eus). 

« Da vintin dihunet abred evit ar brezhoneg ! »


Kemerit pezh : deskit brezhoneg ! 

Bretagne, pays annexé par la France ou parler breton est devenu maintenant si gênant pour unilinguistes que le choix ne se pose plus, il s'impose à coup de "parle français". 
PARADOXE : parler breton en Bretagne est devenu gênant. 
PARADOXE : la langue la plus parlée en Bretagne est le français. 
PARADOXE (cf. carte dans les bonus) : les français ont signé la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires mais ne l'on pas ratifiée
PARADOXE : cette partie de l'article est en français pour que vous la compreniez. 

mercredi 7 mai 2014

Le droit à l'oubli

RAISONNABLE MIREPOC.


Book of Bantorra est grande source de réflexion que j'ai déjà utilisé plusieurs fois (Représenter la laideur). Peut-on blâmer Mirepoc* de choisir l'oublie** ? Choisir l'oubli dans son cas n'est pas un acte de fuite mais une réaction devant l'acte de fuite. Ceux qui restent on le droit d'oublier.

Lacuna***.

Argax**.

Delete.


* Mirepoc Finedel - The book of Bantorra
**  Argax : the fantasy-slaughtering cup that has the power to selectively erase the drinker's memories (wikipédia). 
*** Eternal Sunshine of the Spotless Mind (Éclat éternel de l'esprit immaculé !)

ADMIRABLE MIREPOC.

mardi 6 mai 2014

La pendule

« Je Facebook, donc je suis »*
Facebook a d’intéressant (et il faut lui reconnaitre une de ses seules qualités) que fait qu'il offre clairement la possibilité de confronter les points de vue. 

Ainsi me revient cette citation de La boîte noire :
« Il y a trois personnes très distincts en chacun de nous : celle qu’on voudrait être, celle qu’on croit être, et celle qu’on est vraiment. Les deux premières nous sont très familières la troisième nous est totalement inconnue. C’est celle là qui est dans votre boîte noire. »
Ainsi pour décomposer : 
  • « celle qu’on voudrait être » - les posts facebookiens ;
  • « celle qu’on croit être » - la confrontation entre ces posts et sa lecture par quelqu'un d'autre ;
  • « celle qu’on est vraiment » - totalement inconnue. 

Bing Wright
Ainsi, personne M. postera. La soeur lira et confrontera cet étalage de soi à sa propre connaissance. 
Ou se situe celui que l'on est vraiment ? 
Dans l'étranger qui s'écrit sur facebook ?
Dans le coeur de la soeur ?

Dans ce que M. n'écrit pas sur facebook ?
Ou est M. ?