► NOVECENTO, LA LÉGENDE DU PIANISTE SUR L’OCÉAN ◄
« [Le monde] c'est un clavier de millions de touche, des millions, des millions et des milliards de touches, qui ne finissent jamais, et ce clavier-là, il est infini. Et si ce clavier est infini, alors [...] il n'y a aucune musique que tu puisses jouer.
Ce monde collé à toi, et tu ne sais même pas où il finit. Jusqu'où il y en a. Vous n'avez jamais peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser ? [...]
La terre, c'est un bateau trop grand pour moi. C'est un trop long voyage. [...] Tout cet univers pèse trop lourd. Il n'y a pas de limite et de fin. Sur ce bateau, mes rêves ne sont pas plus longs que de la proue à la poupe. »* (Novecento ou Danny Boodmann T.D. Lemon 1900)
Les révisions sont fractaliennes et comme dirait (presque) Pascal : « Le silence éternel de ces [révisions] infini[e]s** m'effraie ».
► TRANSFORMATION SPÉCIALE POUR LES PARTIELS ◄
« [Les partiels] c'est des réviser des millions de choses, des millions, des millions et des milliards de choses, qui ne finissent jamais, et ces révisions-là, elles sont infinies. Et si ces révisions sont infinies, alors [...] il n'y a aucun savoir parfait *** que tu puisses obtenir.
Ces connaissances collées à toi, et tu ne sais même pas où elles finissent. Jusqu'où il y en a. Vous n'avez jamais peur, vous, d'exploser, rien que d'y penser, à toute cette énormité, rien que d'y penser ? [...]
Les révisions, c'est un projet trop grand pour moi. C'est un trop long voyage. [...] Tout cet univers pèse trop lourd. Il n'y a pas de limite et de fin. Pour un exposé (ou un dossier), mes connaissances n'ont pas à être sont pas plus grandes que de l'introduction à la conclusion. » (La complainte des révisions)
*** "parfait" au sens "terminé" (par fait)